Photo professionnelle prise par Alexandre Poitras – Photographe sportif
Nous vous invitons aussi à consulter notre Mémoire, dans lequel des sections se rapporteront au choix d’une école de motocyclette.
Avec la venue prochaine de la belle saison, plusieurs commenceront à «magasiner» une école de conduite motocyclette. Or, il faut être honnête avec soi-même lors de cette recherche et se poser les vraies questions : veut-on simplement obtenir rapidement son permis de conduire motocyclette ou désire-t-on une vraie formation qui nous permettra de devenir de vieux et vieilles motocyclistes? À ce moment-là, le choix d’une bonne école de conduite repose sur quelques critères de base à ne pas négliger, et les quelques dollars de plus seront alors un bon investissement : notre sécurité!
Plusieurs écoles de conduite sont en mesure de vous offrir des cours de motocyclettes. Seulement, elles n’ont pas toutes les mêmes buts. Pour la plupart, elles se plient à ce que demandent leurs clients. À prime abord, cela semble bien, n’est-ce pas? FAUX! La raison en est fort simple… pour presque tous ceux qui ne s’y connaissent pas mais qui s’y intéressent, conduire une motocyclette est une tâche facile. C’est pourquoi, lors d’une formation, la plupart des clients n’ont qu’une chose en tête, le fameux examen et combien coûte le cours! Or, là est tout le problème. Alors que la plupart des écoles se concentrent sur la réussite des examens permettant de circuler à motocyclette sur la route, d’autres ont la sécurité comme ultime but. Le fait de pratiquer l’examen est bénéfique pour le réussir, certes, mais il néglige l’enracinement profond des manoeuvres. Pourtant, qu’en est-il de la vraie formation? Un examen n’est qu’un sondage de connaissances… n’est-ce pas? D’autant plus que beaucoup de motocyclistes s’entendent pour dire que si le bilan routier des motocyclistes est si mauvais au Québec, c’est bien parce que les écoles de motocyclettes s’orientent sur l’examen et que le niveau du cours est trop bas, puisque cet examen est trop facile et ne détermine pas suffisamment si le motocycliste maîtrise correctement une motocyclette. C’est bien beau de posséder un permis qui nous permet de circuler sur la route, mais sans une vraie bonne formation, ce permis est un coupe-gorge! En ce sens, en 2015, de nouveaux examens sont prévus, notamment en circuit fermé, fini le Motorcyle Operator Skill Test 2 (MOST II). Dorénavant, il sera semblable au « Plateau » Européen et il y aura obligation de passer au 2e rapport. Le nouvel examen devait être beaucoup plus difficile que l’ancien examen administré par la SAAQ. Plusieurs connaisseurs de la moto s’entendent pour dire qu’il n’en est rien, il serait encore plus facile. Depuis sa sortie, le bilan routier des motocyclistes ne cesse de s’alourdir.
Certaines Écoles de conduite ont déjà, en 2015, remboursé plusieurs clients mécontents d’avoir appris (en 2014 et avant) à réussir un examen (M.O.S.T. II) qui n’était plus valide en 2015. Comment réussiront-ils le nouvel examen, s’ils se sont concentrés sur les réponses mais que les questions ne sont plus les mêmes? Ces Écoles de conduite ont acheté le silence de ces clients, en accordant un remboursement INTÉGRAL, afin de ne pas se faire prendre par l’Association québécoises des transports (AQTr) déléguée par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) et subir des mesures de redressement, dans le but de ne pas perdre leur permis d’École de conduite. Posez-vous la question… « Un enseignant en français qui ferait copier une dictée à ses élèves serait-il en train de prouver qu’il serait compétent ou alors qu’il serait si médiocre dans son enseignement qu’il doive faire copier les réponses pour que ses élèves réussissent? » À vous de faire preuve de discernement…
Les tarifs « réduits » sont aussi un problème. Si la motocyclette intéresse une personne, cette dernière sait probablement que le prix des immatriculation (incluant assurances corporelles) a pour ainsi dire doublé depuis 2007 (320$ en 2007, comparativement à 571,48$ pour une motocyclette régulière de plus de 400cc). En outre, certaines écoles ont si peu de succès parce que la clientèle les boude à cause de cours de niveaux médiocres, qu’elles ont recours à un stratagème pour attirer la clientèle, soit de couper les prix des cours. La clientèle naïve, ne faisant pas d’autres recherches que sur le prix de la formation, se trouve à payer trop cher, pour une formation médiocre, mais qui coûte quelques dollars de moins que dans une autre école. Malheureusement, cette clientèle naïve croit faire une bonne affaire! Or, ce n’est pas le cas… pour offrir un prix à rabais, l’école en question doit « couper » dans les dépenses et par le fait même dans la qualité de la formation. On ne peut avoir le beurre, l’argent du beurre et… la crémière en plus!
Lorsqu’une école de motocyclette ne place pas ses élèves dans des situations d’erreurs pour les corriger, l’élève ne les fera pas… et l’école n’aura donc pas abîmé ses motocyclettes, ce qui représente moins de coûts d’entretien. Donc, la correction de multiples erreurs n’aura jamais été faite et malheureusement, le futur motocycliste produira ces erreurs dans sa conduite de tous les jours, ou encore au cour d’une manœuvre d’urgence et endommagera sa motocyclette, sans compter ses genoux et tout le reste de son corps. Dès lors, une économie de 100$ ou même 150$ sur le prix d’un cours de motocyclette serait rapidement éclipsée par le remplacement d’un rétroviseur, d’un levier de commande et d’un ou même deux clignotants avant et arrière si la motocyclette se retrouve sur le côté. Il n’est pas encore question ici de pertes humaines ou de coûts rattachés au soins hospitaliers et de réadaptation.
Étrangement, dans le cas d’une formation orientée sur les examens, même leur réussite s’en trouve altérée, puisque même s’ils ont pratiqué les examens sans relâche pendant des heures, comme le niveau des examens de la SAAQ est reconnu pour être trop bas, les motocyclistes manquent « d’enracinement profond » (Source : Fondation Promocycle – L’amorce de freinage p. 13) et échouent leurs examens (et la question que pose la route dans une situation d’urgence), ce qui retarde l’obtention de leur permis de conduire une motocyclette, et donc, les balades. Il faudra ajouter à cela les coûts de locations de motocyclettes, le tarif de l’examen et même des heures de travail manquées. Afin d’améliorer le niveau de réussite aux examens de la SAAQ, mais surtout diminuer le bilan routier des motocyclistes Québécois, la formation doit être orientée sur « l’enracinement profond » (Source : Fondation Promocycle – L’amorce de freinage p. 13) afin de placer les élèves dans des situations où ils sont portés à commettre des erreurs, pour ensuite que l’école puisse corriger ces erreurs. Dès lors, lors des examens et lors de ballades, alors que la route soumettra le motocycliste à une situation d’urgence, ce dernier saura répondre correctement et sera en mesure de rentrer à la maison, en toute sécurité, fier d’avoir vécu une belle balade, mais surtout satisfait d’avoir correctement répondu à une situation imprévue. Serait-il normal qu’un professeur de Français soit obligé de faire copier une dictée à ses élèves pour avoir une chance de les voir réussir? Tous comprendraient que cet enseignant serait médiocre… pourquoi est-ce non seulement accepté, mais même RECHERCHÉ dans des cours de motocyclette… ? Parce que c’est moins cher comme formation? Un aspirant motocycliste devrait se poser de sérieuses questions quant aux compétences et au sérieux de l’école de conduite qui lui offrirait ce genre de service. En outre, même lorsque le client possède déjà de l’expérience à motocyclette, peu importe d’où vient-elle, il serait encore plus important qu’il apprenne! Il pourrait alors en obtenir pour son argent! Sinon… 150$ de moins pour une formation qui ne servirait pas… ce serait bien trop cher!!!
Il y a aussi les enseignants! Lorsque des enseignants ne sont pas à la hauteur, comme dans tout domaine, ils sont remerciés, mais ils « atterrissent » dans d’autres écoles… c’est à ce moment que les écoles qui recrutent ces enseignants, parce qu’ils arrivent avec des permis d’enseignement à peu de frais, diminuent leurs prix pour attirer de la clientèle, mais offre des services plus que discutables. Malheureusement, il est fort probable que la clientèle ne s’en aperçoive jamais, puisqu’elle ne suivra qu’un seul de cours de conduite dans sa vie. Elle trouvera donc normal d’avoir 2 ou 3 accidents de motocyclette par année, lors des 2 ou 3 premières années de leur carrière, en plus d’être limitée dans les balades, parce qu’elle ne saura pas gérer une situation où une autre, par exemple les feux de circulation de la côte de la rue King à Sherbrooke, ou encore la circulation de la ville de Montréal, ou les belles courbes du parc de la Mauricie.
Un aspirant motocycliste devrait aussi se poser de sérieuses questions lorsque l’on lui offre un cours de conduite « accéléré ». Ceci est une fausse croyance de penser qu’il serait utile de « condenser » les cours, puisque cela limite les déplacements au lieu de formation. Pourtant, cette méthode altère profondément la qualité de l’enseignement. Comme le point de saturation de l’apprenti est rapidement atteint, il est nécessaire pour ces écoles de diminuer la quantité et la qualité de matière pour permettre à l’élève de subir cette formation accélérée.
Lorsqu’on observe des écoles de conduite motocyclette dispenser leurs cours, on peut constater qu’elles visent trop souvent la facilité. Il est aussi fréquent de constater que ces écoles « tournent en rond » en suivant le contour des limites de leur stationnement en circuit fermé. Attention! Il faut se méfier des parcours trop simplistes, sans véritable lien les unissant, avec des moments d’inactivité trop fréquents et trop longs, alors que les élèves attendent patiemment les deux pieds par-terre leur tour pour exécuter un exercice et parviennent même à s’allumer des cigarettes pendant leur temps de pratique! Est-ce normal? Serait-ce là le type de formation qu’il faudrait choisir parce qu’elle coûterait 150$ de moins que celle d’une autre école? N’importe qui sachant compter devrait s’apercevoir que ça n’a pas de sens! Même s’il est vrai de dire que l’élève se développe, il ne le fera qu’à une fraction de son réel potentiel. Ses capacités à accroître ses habiletés et réactions dans diverses mises en situations n‘atteindront pas leur pleine efficacité. Ces mêmes écoles se vantent souvent de fournir aux élèves la même motocyclette durant tous leurs cours que celle qu’ils loueront à l’école pour subir le fameux examen. Leurs élèves n’ont donc jamais changé (ou à peu près pas) de motocyclette, tout au long de leur formation. Oui, il est vrai de dire qu’ils vont plus s’adapter à CETTE motocyclette, mais là est tout le problème. Comment ces élèves arriveront-ils à conduire en sécurité leur propre motocyclette lorsqu’ils s’en achèteront une, s’ils n’ont pas eu à en conduire plusieurs modèles? N’y a-t-il pas là matière à réflexion? L’élève aura-t-il alors tout le bagage nécessaire pour affronter la réalité de la jungle urbaine? Sera-t-il en mesure de donner la bonne réponse lorsque la route lui posera une question? Rappelons-nous que selon la SAAQ, les motocyclistes se renouvellent à 80% à tous les 3,5 ans.
En terminant, pour trouver une école de motocyclette qui vous rendra le service pour lequel vous payez (parce que moins cher devient indirectement bien trop cher pour la qualité obtenue), questionnez-la sur ses horaires de cours et allez voir cette école dispenser ses cours en circuit fermé. Faites- vous votre propre idée. Observez attentivement le niveau d’activité des moniteurs. Veillez à vérifier la diversité des motocyclettes utilisées pour les cours. À combien de dollars estimez-vous votre vie? Ce montant vous fera-t-il choisir une école A simplement parce qu’une école B demande une centaine de dollars de plus? En réalité, le VRAI examen n’est-il pas celui qui nous ramène à la maison tous les soirs!?!?
Autre article pertinent : Commentaires – Conduire une moto – 2015
« MOTOPRECISION »… Pour préciser votre PASSION!
Voici un bout de l’histoire vécue d’une cliente satisfaite qui a hâte de continuer les cours 3 et 4 au lieu de les craindre!!!
Fin août 2012, je réussi l’examen théorique de la SAAQ, on me cédule pour un examen en circuit fermé à la fin septembre 2012 (sans avoir reçu de cours théorique car à l’école où je m’étais inscrite dans mon secteur à Montréal, les cours théoriques ont été annulés, pas assez d’inscriptions). Cette école me fournit les cours 1 et 2 en circuit fermé et malgré qu’on m’avait dit que ce serait un ratio 1:4, il y avait 2 instructeurs pour 14 élèves. J’ai trouvé difficile de ne pas dépasser les lignes peintes semblables à ceux du MOST (l’enseignement y était concentré sur l’examen) et le feddback que j’ai reçu était « limité » . « Mets pas ton pied droit par terre, roule plus vite »). Comme on nous a dit que quelqu’un s’était cassé la clavicule et un bras le week-end d’avant en faisant un arrêt d’urgence, j’avais des craintes. Pour me donner plus d’assurance et m’améliorer, j’ai voulu prendre des leçons privées avant les cours 3 et 4 prévus à la mi-septembre.
C’est en regardant sur internet dans le but de me trouver des leçons d’appoint que mon attention a été attirée par des textes et des clips-vidéo instructifs et intéressants provenant d’un gars qui faisait, entre autres, des tours de piste sur une moto en clamant que c’était facile, que ses élèves apprenait à le faire. J’ai vu MadMax1200 qui, dans une de ses vidéos, disait “Qui veut le savoir doit venir me voir”. Alors, je suis venue! Je ne suis pas simplement repartie avec une leçon d’appoint. J’ai choisi de recommencer les cours 1 et 2 en circuit fermé les 15 et 16 septembre 2012 à Victoriaville.
Wow! Contrairement à l’autre école, j’ai pu observer à Victoriaville des démonstrations accompagnées d’explications utiles avant et après les exercices. De plus, durant les exercices, on a eu du feedback personnalisé de la part d’instructeurs attentifs, respectueux et intéressés à nos progrès (rien à voir avec le ration 1:7). En plus de nous dire quoi “ne pas faire”, on nous a montré “comment faire”. Par exemple, au lieu de dire “mets pas ton pied par terre”, on nous a expliqué (et fait pratiquer) comment freiner de sorte que le pied droit ne descende pas par terre.
Au terme de mon expérience comparative des cours 1 et 2 dans deux écoles, ma conclusion est qu’avec MadMax1200 et son équipe de Victoriaville, l’accent est réellement porté sur “apprendre à conduire une moto” et ce, de façon respectueuse. Voilà, c’était donc un bout de l’histoire vécue d’une cliente satisfaite qui avait peur des cours 3 et 4 mais qui, en ce moment, a hâte de les faire.
Bonjour Denise!
Ça nous a fait plaisir! Voyons! C’est un honneur pour notre section de cours pour débutants de recevoir des élèves d’aussi loin que l’ouest de l’île de Montréal. Nous continuerons bien entendu de t’offrir le plus haut niveau de formation qui soit. Merci de partager ton expérience ici!
Après quelques heures de pratique, Denise… il y a eu un magnifique voyage… Depuis une année, regrettez-vous votre choix?
Denise sur la Tail of the Dragon! https://www.motoprecision.ca/?attachment_id=665
Je peux te dire que dans le cours de moto de l’école de conduite Premiere, pas le temps de s’allumer une cigarette, parce que le cerveau est occupé à loader les informations précieuses qu’on y reçoit. Les professeurs m’ont « botté le cul » de la « bonne façon » souvent avec « douceur. » Cette formation m’a amené à me dépasser. Les professeurs savent vraiment de quoi ils parlent. J’ai du reprendre ma formation 3 fois parce que c’était difficile MAIS C’ÉTAIT CE QU’IL FALLAIT FAIRE! Pourquoi? Parce que je ne maitrisais pas certains éléments de bases, alors les professeurs ne pouvaient pas me laisser partir. Ils ont assuré ma sécurité et celle des autres. Aujourd’hui je maîtrises les notions sur le bout des doigts parce que j’ai dû « bûcher pour les savoir ». Donc, je recommande cette école les yeux fermés (École de conduite Premiere) et je suis certain que MotoPrécision pousse la machine encore plus loin.
Bonjour, je suis sur la Rive-Nord et j’ai pris des cours cirucuit fermé (2) avec une école qui a le monopole à Laval. 2 instructeurs pour une douzaine d’élèves. Les instructeurs étaient très drôles…. Mais moi qui ai beaucoup de difficulté à me concentrer à 48 ans et qui a vraiment le goût de conduire une moto, ce n’était pas le genre d’enseignants qu’il me fallait pour me concentrer… Très gentils mais j’avais l’impression que je ne me concentrais pas mais pas du tout au point ou j’avais l’impression que l’info n’entrait pas. Et plus l’info n’entrait pas et plus je stressais. À un moment donné, mon cerveau a tout simplement abandonné…. Le 2e cours était un désastre pour moi et on m’a conseillé de prendre un cours additionnel de perfectionnement avant le cours 3 et 4 qui allaient être TRÈS TRÈS DIFFICILES…. Les enseignants me criaient les consignes alors j’en perdais ma concentration…. Je suis coupable dans cette situation et je le sais, j’aurais dû tout de suite stopper ces cours. Je cherche un endroit ou je pourrai pratiquer toutes les manoeuvres sans me sentir jugée. Et ce n’est pas juste un TRIP de conduire une moto. Je sais qu’une fois que j’aurais assimilé les manoeuvres, je serai une bonne conductrice. Mais pour l’instant je suis traumatisée et je n’ai pas le courage de continuer mes cours… Sauf que je veux les continuer…. Votre école est cependant trop loin de chez moi. N’avez-vous pas un centre près de Montréal?
Bonjour Sophie, nous sommes vraiment désolés de ne pas avoir remarqué votre commentaire avant aujourd’hui. Il se trouve que par hasard, il est passé inaperçu à travers les autres. Alors voici notre réponse. Il y a un ratio de moniteurs en fonction des élèves qu’une École de conduite DOIT respecter. En circuit fermé, ce ratio est de 5 élèves pour 1 moniteur et en circuit routier, c’est 4 élèves pour 1 moniteur. L’École s’expose à des sanctions par la SAAQ et AQTr si elle ne respecte pas ces ratios (faute #1). Même si les enseignants sont gentils à l’École secondaire, ça ne fait pas d’eux des enseignants pour autant. Il faut certaines qualités, pour être enseignant, mais il faut aussi savoir enseigné, en plus de savoir faire ce qu’on enseigne. Un enseignant de devrait JAMAIS crier à ses élèves, sauf qu’il parler fort afin permettre à ses élèves de l’entendre s’il y a des bruits parasites. Dans ce cas-ci, le bruit vient du bruit des moteurs en plus des casques sur les oreilles (voir s’il y a faute #2). Un enseignant doit mettre ses élèves à l’aise, bien qu’il soit possible que le stress de l’élève soit à peu près incontrôlable, venant de l’interne. Le jugement qu’un enseignant doit porter se trouve sur les manœuvres réalisés, afin de remarquer s’il y a des corrections à apporter. Le jugement n’a pas sa place sur l’individu. Malheureusement, nous n’avons pas de centre près de Montréal. Néanmoins, nous nous déplaçons sans frais pour offrir des formations de groupe (voir section Tarifs 2016). Pour particuliers, nous devons bien entendu facturer nos déplacements. Toutefois, à moi de vous poser une question. Vous désirez parcourir des heures de moto par jour, mais vous seriez en train de nous dire que vous ne viendriez pas suivre nos formation à Drummondville ou à Victoriaville afin de pouvoir parcourir des heures de moto. En sommes, vous êtes prête à rouler à moto, mais pas en auto pour être en mesure de réaliser votre rêve de parcourir des heures à moto… peut-être que ceci présenterait matière à réflexion… 😉 Pourquoi hésiteriez-vous? Appelez-nous : Contact
bonjour, je ne sais pas si Sophie vous a répondu…mais moi j’ai lu votre réponse a sa demande et tout comme elle je suis de mtl…et recherche une place pour un cours privé de conduite de moto…j’ai déjà mon permis (le privilège d’être vieille..loll) et je veux me sécurisé en prenant un ou deux et peut être même 3 cours..,.j’ai un rêve de longue date…et si je veux le réaliser un jour et bien c la et maintenant. Je suis prête a me déplacer.les cours pratique commence quand? merci..j espère une réponse bientôt…
Bonjour Johanne,
Nous n’avons pas reçu de réponse de Sophie à ce jour. Cependant, pourquoi ne pas saisir l’occasion du Salon de la moto de Montréal pour venir discuter avec nous et voir ce que nous pouvons faire pour vous 2. Vous aurez l’occasion de constater que nous savons très ce qu’il faut pour faire de vous une motocycliste qui roule avec un grand plaisir et une grande confiance en ces moyens. Nous sommes situés entre les kiosques ADM et Harley-Davidson. 😉
Bien le bonjour Sophie !
La première des choses ,c’est d’être en mesure d’assimiler les explications pour les mettre en pratique en confiance ! Le stress ,et l’anxiété sont des éléments qui ne doivent surtout pas interférer dans l’exercice des manœuvres à effectuer lors de la formation sur piste et encore moins sur réseau routier !
Pour ce faire ,il faut communiquer avec le /les formateurs pour lui exprimer ton ressentie face aux exercices demandés aussi souvent que nécessaire ,de tel manière qu’il /elle pourra s’adapter pour faire en sorte que tu puisses reprendre confiance en toi …
Quelle est l’école ,que tu as choisie à Montréal ?
Claude C. Lachapelle instructeur /formateur Conseil Canadien de la moto
Voila J ai deja mon permis qui darten d il y a 40ans!! Or je n ai pas conduit de moto depuiis mais je vais probablement m acheter une routiere ce printemps. Alors j aimerais suivre un cours d appoint pour me remettre en shape de conducteur de moto prudent et aguerri. quel genre de cours ( et ou ) me recommandez vous? Suis de la région de Montréal. Merci A tous
Bonjour Christian,
Dans les circonstances que vous êtes, nous vous suggérons notre cours « DEXTÉRITÉ ». Ce cours sert
vous remettre en forme et à approfondir vos compétences de motocycliste. Veuillez nous appeler pour procéder à votre inscription. 819-479-1353 – Danny